Panel
De quelle acceptabilité parlons-nous?9h30 — 13 mars
Grand Salon, Pavillon Desjardins, ULaval
- l’acceptabilité sociale se résume-t-elle à un exercice de relations publiques?
- comment faire cohabiter l’intérêt privé et les intérêts des collectivités?
- doit de veto des communautés : oui ou non?
Ce panel vise à mettre la table à une journée d’échange en abordant ces questions à partir de perspectives très variées de nos panélistes.
Panélistes

Dominique Ollivier
Présidente de l’Office de consultation publique de Montréal
Elle a occupé différents postes au sein d’organismes sociaux, de cabinets ministériels au gouvernement du Québec (1995-2001) et au Cabinet du chef du Bloc québécois à Ottawa (2001-2006) avant d’assumer la direction générale de l’Institut de coopération pour l’éducation des adultes (ICEA), de 2006 à 2011. Forte de cette expérience variée, elle a fondé en mars 2011, le cabinet conseil Ki3, spécialiste en communication stratégique, en recherche et en évaluation, notamment dans le domaine de la transformation sociale et du gouvernement ouvert.

Stéphane Dion
Directeur régional à l’Institut du développement urbain du Québec

Marie-Ève Maillé
Consultante, chercheure et coauteure de «L’acceptabilité sociale : sans oui, c’est non»
Depuis 2016, elle agit à titre de consultante en médiation environnementale pour Notre Boite.
Spécialisée dans l’évaluation des impacts sociaux des grands projets, Marie-Ève Maillé est professeure associée au CINBIOSE (Centre de recherche interdisciplinaire sur le bien-être, la santé, la société et l’environnement) de l’UQAM. Elle est également coauteure de «L’acceptabilité sociale : sans oui, c’est non»